N43° 11’ E8° 36’
pour les braves

Soin profond, miracle réparateur
Obtenir un effet de 10% avec une concentration de 1%
L'énergie des profondeurs océaniques suit la trajectoire des coordonnées N43°11' E8°36',
régénérant et remodelant les cellules avec précision.

Wlead : L’élégance française
née des profondeurs océanes,
éclose à Paris

Le code d’auto-guérison et de régénération cellulaire des abysses

L'Élégance Française, puissée dans les Abysses

Dans les années 1990, les scientifiques français Reed et Wasa découvrirent à Stanford les propriétés régénératrices des méduses Turritopsis dohrnii. En 2000, leur observation d'une méduse cicatrisante en Corse prit fin tragiquement. Leurs recherches inspirèrent l'équipe du Pr. Paul Wender, qui mit au point en 2019 le système breveté 5S-DFJ™, commercialisé sous la marque Wlead. D'abord réservé à une clientèle privée, la marque s'est depuis démocratisée.

Origine de la régénération des Abysses

Le Turritopsis dohrnii est l'une des plus légendaires. Avec un diamètre de seulement 5 mm, elle peut être qualifiée de miracle le plus légendaire de la vie.Cette minuscule créature, originaire de la mer des Caraïbes, s'est propagée dans les océans du monde entier en raison des activités humaines et des courants océaniques des navires océaniques, devenant la seule « méduse immortelle » connue sur la Terre capable d'inverser son cycle de vie. Les Read ont capturé un indice clé de ce miracle de la vie : le mécanisme unique de la méduse pour inverser le vieillissement – une « protéine » spécifique présente dans son organisme, capable d'activer l'activité de la télomérase humaine. Cette recherche révolutionnaire a posé l'un des fondements de leur technologie de régénération cellulaire.

« Recherches inachevées sur les méduses roses »
[N43°11' E8°36' | FOR THE BRAVE]

En mars 2000, afin de vérifier l'hypothèse selon laquelle le courant chaud de Corse favorise la mutation des gènes des méduses, Read et Wasa se sont rendus dans cette zone de courant océanique unique.À bord du navire de recherche « Argo », le couple de scientifiques a multiplié les tentatives. Alors qu'ils plongeaient à 1 486 mètres de profondeur pour la 18e fois, un groupe de créatures en forme d'ombrelle, d'un diamètre de 20 centimètres, est soudainement apparu par la fenêtre d'observation. Leurs corps translucides brillaient d'une nacre irisée, et les éclairs bleutés qui jaillissaient entre leurs tentacules guérissait rapidement les blessures causées par les gammares des abysses.Wasa a noté d'une main tremblante : « Les protéines régénératrices ciblent activement les tissus endommagés.» Cependant, lors du voyage de retour, une fuite soudaine d'hélium a fait dormir le sous-marin pour toujours dans la fluorescence rose, mais les données d'image téléchargées automatiquement ont laissé des coordonnées et de l'espoir pour les générations futures - N43°11' E8°36'